Smartlibris : Les nouveautés : Metvox Publications http://www.smartlibris.com <![CDATA[La Grande Histoire des Français sous l'Occupation – Livre 7 : Un Printemps de Mort et d’espoir]]> http://www.smartlibris.com/book/88906543 Editeur : Metvox Publications

Ce Printemps de mort et d’espoir, c’est le moment où, si rien n’est fini encore, les Français devinent que bientôt tout va finir. Se sachant condamnés, les Allemands — à travers le Service du Travail Obligatoire, la chasse aux maquis, les exécutions d’otages et les déportations — accentuent leur pression. Vichy n’est plus qu’un État satellite dont le chef nominal, Philippe Pétain, doit accepter l’entrée au gouvernement des plus fanatiques partisans de la Collaboration : Henriot, Darnand, Déat. Cependant que pâlit l’étoile du Maréchal (même si Paris, en avril 1944, lui réserve une ovation), celle du général de Gaulle monte et grandit.

Si rien en Histoire n’est jamais définitif, l’œuvre d’Henri Amouroux non seulement obtient les faveurs du plus grand nombre de lecteurs, mais elle est assurée de la plus longue vie car, autant que de la France, elle parle des Français, qui font bénéficier l’auteur de témoignages et de confidences.

 

 

Membre de l’Institut (Académie des sciences morales et politiques) où il a été élu en 1978, président du jury du prix Albert-Londres, Henri Amouroux, qui a notamment dirigé de 1968 à 1982 les quotidiens Sud-Ouest, France-Soir et Rhône-Alpes, est également l’auteur ‘une vingtaine d’ouvrages dont deux romans, et d’émissions de radio et de télévision.

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2020-12-17T17:10:36.700
<![CDATA[Vive le Québec Libre ! : 1967 : Voyage à hauts risques du général de Gaulle au Québec]]> http://www.smartlibris.com/book/88902903 Editeur : Metvox Publications

Quand, le 24 juillet 1967, à 19 h 42, Charles de Gaulle apparaît sur le balcon de l’Hôtel de ville de Montréal, la foule présente d’environ 15 000 personnes est en liesse. Toute la journée, de Québec jusqu’à la métropole montréalaise, le Général a reçu un accueil digne de la Libération (ce sont ses mots) tout au long de son parcours sur le Chemin du Roy avec, à ses côtés, le Premier ministre du Québec, Daniel Johnson.

De Gaulle déclare : « Vive Montréal ! Vive le Québec ! ». Alors que la foule exulte de joie en attendant le mot tant attendu, il marque une seconde d’arrêt puis prononce son célèbre : « Vive le Québec libre ! ». La même foule ne se contrôle plus, elle est folle de bonheur, de fierté. Elle attendait ses paroles, elle les espérait. Elle les a eues...

Dans l’entourage du Général, dans les heures qui suivent, des nouveaux messages cryptés, inquiétants, arrivent de Paris. Les premiers de ces messages étaient parvenus au croiseur Colbert, lors de la traversée de l’Atlantique... La sécurité du Président français est, semble-t-il, gravement en danger. Quel est le contenu de ces messages ? Cinq années après la fin de la guerre d’Algérie, les haines contre de Gaulle sont toujours bien présentes... Alors, qui veut abattre le chef de l’État ? Des éléments disparates des restes de l’OAS ?

Même la presse québécoise évoque un risque d’attentat. Ses principaux conseillers sont très inquiets. Que peut-on faire pour protéger le chef de l’État ? Certains pensent qu’il faut quitter au plus vite le territoire canadien...

Le 26 juillet, le retour en France, quelque peu précipité, est programmé. Le DC8 du Général et a été surveillé jour et nuit... On craint vraiment un attentat... Les services de sécurité et les plus proches collaborateurs du Président de la République décident de faire voler l’appareil quelques heures avant le départ de Montréal et de renforcer les mesures de contrôle au moment du départ... On craint un sabotage...

 

 

Daniel Pierrejean, spécialiste de la Seconde Guerre mondiale a écrit plusieurs ouvrages sur ce conflit majeur, dont L’Envers du Jour J et Parole du Jour J, ou de Gaulle face aux Américains, ou Les pilotes français dans la bataille d’Angleterre, Commandant René Mouchotte. Destin d’un Français Libre ou même encore, Les Forces navales françaises libres au combat, préfacé par l’amiral Philippe de Gaulle ainsi que plusieurs livres sur l’action des Justes...

 

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2020-10-07T11:29:05.567
<![CDATA[Jadis : Avant la Première Guerre mondiale]]> http://www.smartlibris.com/book/88902518 Editeur : Metvox Publications

La réédition de Jadis — Avant la Première Guerre mondiale d’Édouard Herriot, vient compléter la parution de Jadis — D’une guerre à l’autre, ouvrage augmenté paru en 2019 deux volumes.

Dans le présent ouvrage Édouard Herriot dépeint avec beaucoup de précision et un grand talent de conteur, ce qu’était la France de son enfance. Il parle de ses origines familiales avec beaucoup de fierté mais aussi d’affection.

Se revendiquant héritier de la Révolution de 1789, donc de la République, il nous fait part de son parcours éducatif et initiatique tout empreint d’humanisme.

Édouard Herriot, figure emblématique du Parti radical sous la IIIe République, était avant tout un homme aux convictions fermement ancrées : démocratie, laïcité, patriotisme etc. Tout au long de sa vie politique, il n’agissait pas par opportunisme mais restait fidèle à ses idées. Pour autant, il ne succomba jamais à l’intolérance. En être sensé, il sut garder l’esprit ouvert et était à l’opposé du dogmatisme. Il ne confondit jamais autorité avec autoritarisme. Sa personnalité fit de lui un homme d’État compétent et respecté ainsi qu’un maire de Lyon des plus remarquable et des plus estimé.

Son ouverture d’esprit l’amena à jouer un rôle conséquent sur le plan international. Contrairement à de nombreux hommes politiques français, la vision d’Herriot était loin d’être purement hexagonale. Il voyagea beaucoup, rencontra de nombreux dirigeants étrangers avec lesquels il entretint des relations d’estime sinon d’amitié.

Cet homme d’exception aura marqué son temps, d’ailleurs Georges Clemenceau disait de lui « Le Vésuve se borne souvent à fumer sa pipe comme Herriot, tout en ayant sur celui-ci l’avantage de se faire parfois oublier ». De son côté Herriot n’était pas en manque d’humour ni de lucidité, il prétendait qu’« Une vérité est un mensonge qui a longtemps servi. »

Créativité et imagination étaient les maîtres mots de cet homme politique de grande culture.

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2020-09-20T16:11:36.950
<![CDATA[La Grande Histoire des Français sous l'Occupation - Livre 6 : L'impitoyable guerre civile]]> http://www.smartlibris.com/book/88900782 Editeur : Metvox Publications

1943 sera l’année du durcissement.

Vaincus à Stalingrad, chassés bientôt de toute l’Afrique, les Allemands ont des exigencessans cesse accrues à l’égard de la France, comme de tous les pays occupés. Pour leurs usines, ils veulent des hommes et cela donnera le Service du Travail obligatoire.

Pour maintenir l’ordre alors que les Français — qui devinent que le sort de l’occupant est scellé — renforcent la résistance, multiplient les attentats, créent les premiers maquis, les Allemands bénéficient, avec la Milice, d’une force supplétive qui mène le combat contre les communistes et les gaullistes dont l’importance grandit depuis que de Gaulle a éliminé Giraud à Alger.

Le durcissement constaté au cours de l’année 1943, n’affecta pas uniquement les protagonistes du conflit mais se fit également sentir entre les personnalités se cotoyant dans un même camp. L’illustration parfaite est la très grave altercation — de nature idéologique — qui opposa Jean Moulin à Pierre Brossolette quant à l’unification des mouvements de résistance.

À l’aide de documents irréfutables, Henri Amouroux reconstitue avec émotion et précision une « impitoyable guerre civile ».

 

 

Membre de l’Institut (Académie des sciences morales et politiques) où il a été élu en 1978, président du jury du prix Albert-Londres, Henri Amouroux, qui a notamment dirigé de 1968 à 1982 les quotidiens Sud-Ouest, France-Soir et Rhône-Alpes, est également l’auteur ‘une vingtaine d’ouvrages dont deux romans, et d’émissions de radio et de télévision.

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2020-08-24T10:54:53.320
<![CDATA[La Grande Histoire des Français sous l'Occupation – Livre 1 : Le Peuple du Désastre]]> http://www.smartlibris.com/book/88899271 Editeur : Metvox Publications

Cet ouvrage, Le peuple du désastre, est le premier livre d’une série de onze ouvrages dédiés à La Grande Histoire des Français sous l’Occupation.

Du 3 septembre 1939, date de la déclaration de la guerre à l’Allemagne, au 22 juin 1940, date de la signature de l’Armistice avec le IIIe Reich, la France allait entrer dans l’une des plus sombres périodes de son Histoire.

Jusqu’au 10 mai 1940, tout se passa comme si les responsables militaires français s’étaient installés « confortablement » dans une Drôle de Guerre pour laquelle il semblait urgent de ne rien faire. Drôle, cette guerre l’a été par certains de ses aspects lorsque l’on songe au cas du lieutenant Lacombe, un pilote français de Morane 406, qui écopa d’un blâme sévère pour avoir attaqué l’aérodrome de Sarrebruck, détruit un Messerschmitt 109 ainsi qu’un hangar. Ce ne fut malheureusement pas un isolé. Ce manque de combativité (à quelques exceptions près) laisse-t-il supposer que les responsables militaires français étaient en attente d’un règlement pacifique du conflit ?

Le 10 mai 1940, lorsque l’armée allemande passe à l’offensive en envahissant la Belgique et les Pays-Bas, on réalise qu’au manque d’initiative s’ajoute un manque de réactivité. Il est impossible de contrer la ruée des panzers conjuguée aux bombardements des Stukas de la Luftwaffe qui sèment la terreur chez les militaires comme chez les civils. La Blitzkrieg élaborée par le général von Manstein et validée par Hitler donne alors un avantage décisif aux forces allemandes. La mise en œuvre de cette audacieuse stratégie n’avait pu être imaginée par les stratèges français. Cette carence dans l’anticipation fit que l’armée française ne sut profiter des quelques périodes de faiblesse que traversa la Wehrmacht lors de sa rapide progression et qui auraient pu entraîner un retournement de situation. Seule la volonté d’Hitler d’en découdre militairement donna la victoire à l’Allemagne. Cette même volonté belliqueuse allait l’amener plus tard à sa perte.

Pour les civils, c’est l’exode. Pour les militaires, c’est la débâcle. Pour les politiques c’est la fuite vers Bordeaux. C’est un désastre dans lequel la France et ses élites se trouvèrent complétement dépassées par les événements.

Grâce à son talent de journaliste et d’historien Henri Amouroux, membre de l’Académie des sciences morales et politiques, sait mieux que quiconque nous faire partager l’intensité dramatique de cette période où l’héroïsme le plus pur côtoya la veulerie la plus sordide. Dans ses analyses minutieuses, le facteur humain reste toujours omniprésent et facilite la compréhension de cette terrible période d’où émergera la France moderne, mais aussi l’Europe en tant qu’entité économique et politique en devenir.

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2020-07-24T18:09:29.150
<![CDATA[La Grande Histoire des Français sous l'Occupation – Livre 3 : Les Beaux Jours des Collabos]]> http://www.smartlibris.com/book/88899270 Editeur : Metvox Publications

Cet ouvrage, Les beaux jours des collabos, est le troisième livre d’une série de onze ouvrages dédiés à La Grande Histoire des Français sous l’Occupation.

Ce titre n’apparaîtra pas provocateur à ceux qui connaissent toute l’importance de cette année charnière qu’est 1941, à la fois pour la Collaboration et la Résistance.

Lorsque, le 21 juin 1941, les Allemands attaquent l’Union soviétique, le collaborationnisme français, qui se nourrissait jusqu’alors d’anglophobie et d’antisémitisme, trouve une raison d’être supplémentaire : l’antibolchevisme.

La Collaboration d’État, telle qu’envisagée à Montoire lors de la rencontre Pétain-Hitler, se trouve dépassée. Le combat de l’Allemagne revêt alors, pour certains Français, l’allure d’une croisade. Ce fut le cas pour Jacques Doriot, qui après un engagement au Parti communiste, se tournera vers le fascisme en 1936 en prenant la direction du Parti populaire français. Doriot sera un partisan inconditionnel de la Collaboration avec le IIIe Reich, il participera à la création de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme et combattra sur le front de l’Est, sous l’uniforme allemand avec le grade de lieutenant dans la Waffen SS.

Marcel Déat fut une autre figure de la collaboration idéologique, à l’instar de Jacques Doriot, il était aussi issu de la gauche. Proche de Pierre Laval, il fondera le Rassemblement national populaire, parti fasciste et ouvertement collaborationniste.

À côté de la collaboration idéologique, politique et intellectuelle, naquit une collaboration économique pouvant être considérée, en partie, comme technique, car imposée par le vainqueur. Elle se manifesta bien souvent par la spoliation et le pillage du territoire national. Lors de l’épuration, elle sera beaucoup moins sévèrement sanctionnée que les autres formes de collaboration.

Parallèlement, une collaboration de circonstance vit le jour dont les motivations étaient très diverses. Elles allaient des simples relations amicales ou amoureuses entretenues avec les soldats ennemis, en passant par les dénonciations à la police ou à la Gestapo en vue de régler des comptes personnels de nature autant politique qu’économique. Cette forme de collaboration, loin d’être anodine, fut le reflet du climat de guerre civile qui régnait en France durant cette tragique période.

Henri Amouroux, membre de l’Académie des sciences morales et politiques, sait mieux que quiconque donner une incarnation à l’Histoire en analysant au plus profond les ressorts de l’âme humaine.

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2020-07-24T18:09:28.990
<![CDATA[La Grande Histoire des Français sous l'Occupation – Livre 2 : Quarante Millions de Pétainistes]]> http://www.smartlibris.com/book/88899268 Editeur : Metvox Publications

Cet ouvrage, Quarante millions de pétainistes, est le deuxième livre d’une série de onze ouvrages d’Henri Amouroux, dédiés à La Grande Histoire des Français sous l’Occupation. Les événements relatés dans ce livre couvrent une période allant de juillet 1940 à juillet 1941. L’État français se met en place. À la ferveur quasi religieuse suscitée par le Maréchal au moment de l’armistice succédera rapidement, une période de doutes puis de désillusions alors que se met en place la politique de collaboration avec l’ennemi.

Comment l’image du vainqueur de Verdun a-t-elle pu se dégrader aussi ra­pi­dement ? Aussi étonnant que cela puisse paraître aujourd’hui, Philippe Pétain passait pourtant pour un « maréchal de gauche » de par son passé de fantassin pauvre issu d’une famille modeste. Il n’incarnait pas, selon l’expression consacrée, « l’alliance du sabre et du goupillon ». L’un des plus beaux éloges qui lui sera consacré, fut rédigé par Léon Blum, à l’occasion de son élection à l’Académie française : « Si je disais qu’entre tous les chefs de la guerre le maréchal Pétain est celui dont la modestie, la gravité, le scrupule réfléchi et sensible imposent le respect, si je rappelais le rôle qu’il tint et que seul il pouvait tenir entre l’échec des offensives françaises d’avril 1917 et les grandes offensives allemandes du printemps 1918, je ne pourrais que le gêner par mon compliment, je n’aurai pas ce mauvais goût. »

Durant la Grande Guerre, il symbolisa l’homme providentiel. En mai-juin 1940, il incarnait le sauveur de la France. Au crépuscule de sa vie, il allait donner l’image d’un vieillard indigne atteint de déchéance physique et mentale ayant entraîné la patrie des droits de l’homme dans les pires compromissions.

Après un parcours sans faute, Vichy a certainement été pour Pétain, le combat de trop. Les choses n’étant pas simples, on sait que suite à la débâcle de 1940, la quasi-totalité des Français et du monde politique le considérait alors comme l’ultime recours face à une situation aussi inattendue que désespérée. On ne peut leur en faire le reproche car rien ne pouvait laisser présager la suite des événements.

Grâce à son talent de journaliste et d’historien Henri Amouroux, membre de l’Académie des sciences morales et politiques, sait mieux que quiconque nous faire partager l’intensité dramatique de cette période où l’héroïsme le plus pur côtoya la veulerie la plus sordide. Dans ses analyses minutieuses, le facteur humain reste toujours omniprésent et facilite la compréhension de cette terrible période d’où é­mer­gera la France moderne, mais aussi l’Europe en tant qu’entité économique et politique en devenir.

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2020-07-24T18:07:46
<![CDATA[La Grande Histoire des Français sous l'Occupation – Livre 4 : Le peuple réveillé]]> http://www.smartlibris.com/book/88899265 Editeur : Metvox Publications

Une fois passé le traumatisme causé par l’effondrement militaire de mai-juin 1940, les Français commencent à se ressaisir au cours de l’année 1941. Nombreux sont ceux qui, préoccupés par leur simple survie quotidienne, placent leur confiance dans la personne du maréchal Pétain. D’autres pourtant, encore relativement peu nombreux, considèrent qu’il est de leur devoir de résister à l’envahisseur. Le tout premier représentant de cette tendance sera le général de Gaulle qui lance depuis Londres, son appel à la résistance le 18 juin 1940 à la BBC. Peu de personnes sont à l’écoute ce jour-là, car en France c’est la débâcle militaire et l’exode des civils sur les routes.

Il n’empêche que l’homme, habité par une formidable volonté politique, finira par s’imposer à tous, malgré les nombreuses rivalités affectant les diverses composantes de la France résistante. À cette époque, peu de gens peuvent imaginer l’extraordinaire destin que va connaître ce quasi inconnu, condamné à mort par l’État français qui le considère comme un renégat mais qui finira par incarner, à l’issue de la guerre, la légitimité politique de la France.

Une seconde composante, et non des moindres, va voir le jour après que le IIIe Reich ait déclenché l’Opération Barbarossa d’invasion de l’Union soviétique le 22 juin 1941. Une nouvelle phase de la Seconde Guerre mondiale débute.

Le Parti communiste français était jusqu’alors dans l’expectative quant à l’attitude à adopter vis-à-vis de l’occupant depuis la conclusion du pacte germano-soviétique signé le 23 août 1939 à Moscou par Molotov et Joachim von Ribbentrop.

Barbarossa va constituer pour le Parti une véritable « libération ». Les choses étant claires, l’heure est dorénavant à l’action. En cela, le Parti des fusillés se révélera une organisation d’une redoutable efficacité. Ses militants, très disciplinés et parfaitement organisés, sont animés de la croyance et de la force morale que leur confère l’idéologie communiste. Cette force morale, assez comparable à la foi religieuse, les mènera souvent jusqu’au sacrifice de leur vie qu’ils soient simples militants ou responsables politiques.

Cette montée des mouvements de résistance, ne doit pas faire oublier qu’allait se mener en France, une impitoyable guerre civile.

Avec le talent qu’on lui connaît, Henri Amouroux, membre de l’Académie des sciences morales et politiques, sait mieux que quiconque nous faire vivre ces événements tragiques.

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2020-07-24T17:59:45.620